15.10.09

La France qui pleure et Jean qui rit


Nicolas Sarkozy n'en est plus a ses premières bourdes.

Au début de son mandat, je croyais qu'il s'était mal entouré, que ses conseillers en communication étaient des ânes, que les choses devaient vite rentrer dans l'ordre...
Mais après un troisième mariage sulfureux, des déclarations à l'emporte pièce sur le QI de Zapatero ou l'expertise d'Obama et autres menus scandales sur talonnettes, je commence à croire qu'il ne doit pas écouter grand monde de toute façon.

La carrière politique prématurée de son fils est aussi inopportune que néfaste. Le président n'aurait jamais du la laisser filer ou l'encourager. A supposer même que Jean Sarkozy ait voulu et mérité ce poste (grande supposition je le concède), la raison d'état et le simple bon sens auraient du l'en dissuader.

Nous étions nombreux a rêver que la France se ressaisisse sous l'impulsion du président. Incorrigible optimiste que je suis, j'avoue que je m'étais réjoui que M. Sarkozy par son énergie et sa force de travail ait changé la tradition des présidents français statiques, immobiles et au dessus de tout. J'espère désormais seulement que sa maladresse ne le réduise définitivement à un rôle de leader agité, despotique et en dessous de tout.


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